- Actualisation comme protection et maximisation de l'effort vital. La volonté de puissance nietzschéenne est la relation interne qui structure la force par laquelle tout être se maintient dans l'être. La volonté de puissance échappe à la représentation, ce qui la distingue du conatus spinoziste. La spécificité humaine tient au potentiel d'actualisation de l'humain selon une perspective temporelle plus vaste (perspective présent-passé-futur) et un système de valeurs. Existence et essence se confondent dans le même concept de volonté de puissance.
- Auto-régulation, basé sur un système d'informations. La spécificité humaine réside dans le contrôle volontaire déterminant et l'abondance de l'information, aussi bien que dans son traitement et dans le pouvoir et les responsabilités qui en découlent.
- Echange avec l'environnement. La spécificité humaine se situe dans les divers niveaux d'échanges, faussés ou mis en perspective (symboles, valeurs) et dans la valorisation de la non-réciprocité de l'échange.
- Perpétuel mouvement, avec point terminal. La spécificité humaine réside dans le choix des directions de changement, son éventail de possibilités plus vaste (potentialités et connaissance) qui s'ouvre le paradoxe d'une perspective temporelle à la fois irrémédiablement limitée (mort) et terriblement infinie (objectifs dépassant l´homme).
- Cohérence ou unicité/diversité caractéristiques propres de l'espèce. La spécificité humaine réside dans son individualité, sa capacité d'abstraction et de représentation, sa conscience d'identité unique (degré et qualité), sa capacité à s'identifier à une collectivité (sans perte d'individualité), son raffinement expérimental, sa liberté (choix volontaires et responsables).
"La vie [...] tend à la sensation d'un maximum de puissance ; elle est essentiellement l'effort vers plus de puissance ; sa réalité la plus profonde, la plus intime, c'est ce vouloir. [...] L'essence la plus intime de l'être est la volonté de puissance." (Nietzsche, FP, XIV, 14 (80)).
Ainsi, à l'encontre de certaines doctrines antiques (comme par ex. l'épicurisme) dont le principe de plaisir ne parvient pas à expliquer la persistance du mal, Nietzsche pense qu' "il n'est pas vrai que l'homme recherche le plaisir et fuit la douleur [...]. Le plaisir et la douleur sont des conséquences, des phénomènes concomitants ; ce que veut l'homme, ce que veut la moindre parcelle d'un organisme vivant, c'est un accroissement de puissance. Dans l'effort qu'il fait pour le réaliser, le plaisir et la douleur se succèdent ; à cause de cette volonté, il cherche la résistance, il a besoin de quelque chose qui s'oppose à lui... ".
- Auto-régulation, basé sur un système d'informations. La spécificité humaine réside dans le contrôle volontaire déterminant et l'abondance de l'information, aussi bien que dans son traitement et dans le pouvoir et les responsabilités qui en découlent.
- Echange avec l'environnement. La spécificité humaine se situe dans les divers niveaux d'échanges, faussés ou mis en perspective (symboles, valeurs) et dans la valorisation de la non-réciprocité de l'échange.
- Perpétuel mouvement, avec point terminal. La spécificité humaine réside dans le choix des directions de changement, son éventail de possibilités plus vaste (potentialités et connaissance) qui s'ouvre le paradoxe d'une perspective temporelle à la fois irrémédiablement limitée (mort) et terriblement infinie (objectifs dépassant l´homme).
- Cohérence ou unicité/diversité caractéristiques propres de l'espèce. La spécificité humaine réside dans son individualité, sa capacité d'abstraction et de représentation, sa conscience d'identité unique (degré et qualité), sa capacité à s'identifier à une collectivité (sans perte d'individualité), son raffinement expérimental, sa liberté (choix volontaires et responsables).
"La vie [...] tend à la sensation d'un maximum de puissance ; elle est essentiellement l'effort vers plus de puissance ; sa réalité la plus profonde, la plus intime, c'est ce vouloir. [...] L'essence la plus intime de l'être est la volonté de puissance." (Nietzsche, FP, XIV, 14 (80)).
Ainsi, à l'encontre de certaines doctrines antiques (comme par ex. l'épicurisme) dont le principe de plaisir ne parvient pas à expliquer la persistance du mal, Nietzsche pense qu' "il n'est pas vrai que l'homme recherche le plaisir et fuit la douleur [...]. Le plaisir et la douleur sont des conséquences, des phénomènes concomitants ; ce que veut l'homme, ce que veut la moindre parcelle d'un organisme vivant, c'est un accroissement de puissance. Dans l'effort qu'il fait pour le réaliser, le plaisir et la douleur se succèdent ; à cause de cette volonté, il cherche la résistance, il a besoin de quelque chose qui s'oppose à lui... ".
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