Et voilà la nuit, tout repose, les yeux se ferment pour voir sans comprendre le rêve de l'espace infini qui fuit devant moi et j'ai la sensation de la marche dolente de mes espérances.
Paul Gaugin, lettre à André Fontenas, Tahiti, mars 1899. Cité par Jean Malaurie, Hummocks I. De la pierre à l'homme avec les Inuit de Thulé, page 14.
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