Photo tirée de olympischstadionloop.nl/.
Olympisch Stadion Amsterdam
Le stade olympique d'Amsterdam est un stade construit par l'architecte Jan Wils à l'occasion des Jeux olympiques d'été de 1928. À son inauguration, le stade a une capacité de 34 000 places, portée en 1937 à 64 000 grâce à l'ajout d'un second étage de tribunes. Ce sont les Jeux de 1928 qui inaugurent pour la première fois l'allumage de la flamme olympique et surtout les premières compétition ouvertes aux femmes. En 1954, le départ du Tour de France se fait depuis le Olympisch Stadion Amsterdam.
En raison de la faible capacité du Stadion De Meer et d'un système d'éclairage ne permettant pas l'organisation de rencontres nocturnes, l'Ajax Amsterdam joue ses matchs les plus importants au stade olympique jusqu'à la construction en 1996 de sa nouvelle enceinte, l'Amsterdam ArenA. Après le départ de l'Ajax, le second étage de tribune est démolis et le stade retrouve sa configuration d'origine. Il est ensuite restauré et ré-ouvre ses portes en mai 2000.
Le stade olympique d'Amsterdam est un stade construit par l'architecte Jan Wils à l'occasion des Jeux olympiques d'été de 1928. À son inauguration, le stade a une capacité de 34 000 places, portée en 1937 à 64 000 grâce à l'ajout d'un second étage de tribunes. Ce sont les Jeux de 1928 qui inaugurent pour la première fois l'allumage de la flamme olympique et surtout les premières compétition ouvertes aux femmes. En 1954, le départ du Tour de France se fait depuis le Olympisch Stadion Amsterdam.
En raison de la faible capacité du Stadion De Meer et d'un système d'éclairage ne permettant pas l'organisation de rencontres nocturnes, l'Ajax Amsterdam joue ses matchs les plus importants au stade olympique jusqu'à la construction en 1996 de sa nouvelle enceinte, l'Amsterdam ArenA. Après le départ de l'Ajax, le second étage de tribune est démolis et le stade retrouve sa configuration d'origine. Il est ensuite restauré et ré-ouvre ses portes en mai 2000.
Citius, Altius, Fortius: "plus vite, plus haut, plus fort"
La devise olympique Citius, Altius, Fortius symbolise l'excellence et propose de tendre vers le meilleur de soi-même, de cheminer vers ses limites, d'apprendre à les connaître et à les dépasser, de progresser, sur le stade comme dans la vie. Cette devise est une invitation à vivre ce dépassement comme une victoire.
Cette expression est, non pas comme on le croit souvent de Pierre de Coubertin, mais du père dominicain Henri Didon, prieur de l'internat Albert-le-Grand d'Arcueil, qui, en 1891 — exhortant ses élèves à cultiver leur jeunesse dans la pratique sportive dans une éloquente allocution — a souhaité que "ce drapeau les conduise souvent à la victoire, à la lutte toujours".
Henri Didon, ecclésiastique et pédagogue reconnu, est engagé en 1890 par cet établissement scolaire qui connaît alors des difficultés financières et des résultats scolaires médiocres. Le père Didon se voit donc chargé de réformer l'institution, et son projet s'appuie sur la valorisation de l'âme, de l'esprit, mais aussi du corps. Il organise un championnat de l'Association athlétique de l'école Albert-le-Grand et prononce un discours le 7 mars 1891, en clôture de cette manifestation. Pour le père Didon, citius ("plus vite") se rapporte à l'esprit, aux études ; altius ("plus haut") a trait à l'élévation de l'âme ; fortius ("plus fort") est le corps élevé, façonné par le sport. Les mots latins citius, altius, fortius deviennent la devise de l'école et sont gravés au-dessus de la porte d'entrée de l'établissement scolaire. Coubertin, séduit par la devise de son ami, en fait la devise olympique, car, dans l'esprit du baron, le sport est avant tout un outil pédagogique.
La devise olympique Citius, Altius, Fortius symbolise l'excellence et propose de tendre vers le meilleur de soi-même, de cheminer vers ses limites, d'apprendre à les connaître et à les dépasser, de progresser, sur le stade comme dans la vie. Cette devise est une invitation à vivre ce dépassement comme une victoire.
Cette expression est, non pas comme on le croit souvent de Pierre de Coubertin, mais du père dominicain Henri Didon, prieur de l'internat Albert-le-Grand d'Arcueil, qui, en 1891 — exhortant ses élèves à cultiver leur jeunesse dans la pratique sportive dans une éloquente allocution — a souhaité que "ce drapeau les conduise souvent à la victoire, à la lutte toujours".
Henri Didon, ecclésiastique et pédagogue reconnu, est engagé en 1890 par cet établissement scolaire qui connaît alors des difficultés financières et des résultats scolaires médiocres. Le père Didon se voit donc chargé de réformer l'institution, et son projet s'appuie sur la valorisation de l'âme, de l'esprit, mais aussi du corps. Il organise un championnat de l'Association athlétique de l'école Albert-le-Grand et prononce un discours le 7 mars 1891, en clôture de cette manifestation. Pour le père Didon, citius ("plus vite") se rapporte à l'esprit, aux études ; altius ("plus haut") a trait à l'élévation de l'âme ; fortius ("plus fort") est le corps élevé, façonné par le sport. Les mots latins citius, altius, fortius deviennent la devise de l'école et sont gravés au-dessus de la porte d'entrée de l'établissement scolaire. Coubertin, séduit par la devise de son ami, en fait la devise olympique, car, dans l'esprit du baron, le sport est avant tout un outil pédagogique.
Stadionloop: parcours 10km
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