La fragmentation du savoir permet à chacun de voir son monde, celui qu'on crée en réduisant son recueil d'informations à une spécialité. Et même si la discordance entre la vision culturelle et le savoir de terrain prouvent que les observations d'un anthropologue, d'un ethnologue, d'un psychiatre, etc., ne produisent pas le même objet, la fragmentation du savoir donne une aisance intellectuelle : l'accumulation de données différentes mène à la nuance et à la remise en question. Et pourtant : quand on a peu de connaissances, on a les idées claires.
28 oct. 2024
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