7 mars 2014

Edmonde Charles-Roux, Un désir d'Orient : Jeunesse d'Isabelle Eberhardt, p. 294

Rien de plus singulier que ces éclatantes vérités qui commencent par sourdre lentement avant de se révéler non point le jour même, ni dans l'année qui suit, mais plus tard, très tard, et se font alors si vives que l'on n'entend plus qu'elles.

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