On n'a rien vu lorsqu'on n'a fait que voir. Une marche, c'est un effort de nos racines, des odeurs dans le nez, une succession d'attentes et de sensations, d'épreuves et de relâchements qui font voir.
Gilles Modica, Vertiges Chroniques, chap. Monsieur Topffer ou l'invisible Mont-Blanc, page 49.
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