Sur la rue Gonghe Xin, un grand chapiteau rouge que l'on voit de loin. Ce soir, je vois les assiettes tournoyer au bout de leur bâton, les vases chinois rouler sur les bras et tenir en équilibre sur les têtes, les ombrelles passer de pieds en talons, les corps virevolter dans les airs, les vélos chargés d'acrobates tourner sur la piste, les motos circuler dans une cage sphérique, les dos se casser en des positions fabuleusement tordues.
C'est un spectacle populaire, on peut y aller tous les soirs. Il y a encore quelque chose de magique dans le charme désuet du cirque.
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