Pourtant son propriétaire m'avait averti : « Attention, Rumiz, elle [la Topolino] est comme une femme. Si tu l'as, tu la maudis, si tu la perds, elle te manque, si tu t'en fous, tu perds ton âme. »
Paolo Rumiz, La légende des montagnes qui naviguent (De Montefeltro aux monts Sibyllins), page 409.
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