18 juin 2014

Claudio Magris, Danube (10)

Il voulait nous enseigner le mépris du sirop sentimental, de cette fausse bonté qui l'espace d'un instant, en toute bonne foi, offre ou promet dans un élan monts et merveilles, avec la conviction d'une impulsion généreuse, quitte à se rétracter, avec de nombreux motifs sérieux et valables quand on la met au pied du mur.
Claudio Magris, Danube, page 317.

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