Effort que fait chaque être pour persévérer dans son existence et affirmer sa puissance, au sens physique (puissance comme énergie) et philosophique (puissance comme faculté ou capacité de produire un effet ou acte comme manifestation concrète des pouvoirs d’agir d’une personne). Etre en puissance, c'est être potentiellement susceptible d’acquérir telle ou telle détermination.
La vie éthique est celle qui a pour souci d'exploiter de manière optimale les ressources de son propre être, c'est-à-dire la complexité de son corps et de son intellect. Cette vie doit affirmer un désir primordial de vivre - le conatus ou joie comme principe absolu de vie chez Spinoza qui couvre la même notion que la volonté de puissance chez Nietzche.
Le conatus modifié par les relations sociales perd de sa puissance dans la mesure où il cherche à s'accomplir selon des modèles qui ne correspondent pas à sa nature, c'est ce que Spinoza appelle l'imagination dans la proposition 17 de la seconde partie de l'Ethique.
La vie éthique est celle qui a pour souci d'exploiter de manière optimale les ressources de son propre être, c'est-à-dire la complexité de son corps et de son intellect. Cette vie doit affirmer un désir primordial de vivre - le conatus ou joie comme principe absolu de vie chez Spinoza qui couvre la même notion que la volonté de puissance chez Nietzche.
Le conatus modifié par les relations sociales perd de sa puissance dans la mesure où il cherche à s'accomplir selon des modèles qui ne correspondent pas à sa nature, c'est ce que Spinoza appelle l'imagination dans la proposition 17 de la seconde partie de l'Ethique.
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